Les fonds nécessaires pour ces deux infrastructures peuvent cependant dépasser cette prévision, d’après le compte rendu du dernier Conseil des ministres.
L’État va recourir à un prêt auprès de la Banque africaine de développement en Afrique (BADEA) pour disposer de ce financement, dont le taux d’intérêt est de 1% et seront remboursables pendant 30 ans. Les ressources internes serviront d’abord à démarrer ce projet.
Mis à part de ce que serait son effectivité, beaucoup de questions se posent autour de ce projet, dont les entreprises qui se chargeront de la construction de ces deux infrastructures. Les observateurs ont en effet été surpris par l’avis d’appel à manifestation d’intérêt sur le contrôle et surveillance des travaux de construction de ces deux infrastructures qui a été expressément diffusé sur les réseaux sociaux. Ceux qui concernent la construction proprement dite ont été réclamés.